La thérapie transgénérationnelle

Depuis plus d'un an je suis certifiée praticienne en thérapie transgénérationnelle, ou, autrement dit, la psychogénéalogie.

C'est le sujet qu'on va aborder aujourd'hui.

Plus exactement , on va parler épigénétique.

Dès qu'il y a une "validation" scientifique ou médicale d'un processus qui peut être encore percu comme spirituel par certains, les choses changent.

L'impact est souvent bien différent.

Dans la pensée publique il y a un truc qui se passe du genre :" ah, ça existe vraiment".

Vous avez certainement dû voir circuler des vidéos sur l'impact des traumatismes au niveau de l'ADN, les répercutions physique et psychologique sur la descendance.

Et oui, nous ne sommes pas totalement neutres à notre naissance.

Il y a, dans notre composition génétique, les héritages d'au moins, 3 générations.

En tant que thérapeute, avant de transmettre et d'accompagner les gens nous devons expérimenter bien évidemment.

Bien que déjà consciente de certaines choses que j'avais pu "récupérer", certains liens une fois posés m'ont laissée bouchée bée.

Ces héritages peuvent être la source de nombreux maux, encore faut il, là aussi, vouloir faire le "sale boulot".

Il n'est pas évident d'emprunter ce chemin, il est pourtant révélateur et annonce un avenir plus conscient et serein.

Le travail en transgénérationnel ne doit pas être vu comme un jugement sur nos parents, nos grands parents, sur notre éducation, mais bel et bien un état des lieux conscient, sur ce qui nous empêche potentiellement d'être vous pleinement.

Ce travail ce fait en plusieurs temps, en séance bien évidemment, mais aussi à la maison, avec pour commencer la construction de votre arbre généalogique sur au moins 3 générations, comprenant le maximum d'informations.

Nous allons chercher une répétition, ou une compensation, que ce soit de comportements, de maladies, échecs relationnels, addictions, d'événements tragiques, les problèmes d'argent,etc afin d'identifier la source, ou la naissance du fantôme transgénérationnel, car oui, c'est comme ça qu'on l'appelle.

À vous, si vous vous en sentez le courage et la foi, de procéder à sa libération pour éviter de le faire subir aux futures générations.

Vous avez le pouvoir de mettre fin aux transmissions.